Tout audioblogueur qui se respecte se doit de parler de Tom Waits. Je me respecte alors c’est bon. Allons-y.
J’en ai déjà un parlé la dernière fois avec Jack and Neal, allons plus loin cette fois-ci dans sa fascination pour Kerouac. Parce que moi aussi je suis fasciné par Kerouac, ça tombe bien. Bon, Tom Waits est l’homme le plus classe du monde, il incarne le clochard céleste, sa voix résume le monde, elle sonne like it was soaked in a vat of bourbon, left hanging in the smokehouse for a few months and then taken outside and run over with a car.
Une fois qu’on a admis la supériorité de Tom Waits sur nous (si il le faut, regarde Down by Law, tu comprendras), on peut écouter un peu son dernier album, ou plutôt ses 3 dernier albums.
Trois albums d’orphelins, les uns sont des combattants, d’autres des foutus braillards, mais les plus sympas sont les bâtards. Des poèmes chantés ou parlés, des morceaux « normaux » aussi mais bon ils nous en a déjà fait 163 géniaux alors écoutons les ces poèmes. Surtout quand c’est un Buk ou un Kerouac mis en musique de deux manières différents.
Tom Waits – Nirvana – Home I’ll never be – On the road