- Johnny va mourrir
- Les Jeunes Pop' ont fait un lipdub pour lequel Gilbert Montagné a appris à conduire
Friday, December 11, 2009
Que cette decennie fut belle
Les grands titres du jour :
Thursday, December 10, 2009
No job, no money, no rent. Hey, I'm back to normal.
Je crois que j'étais jamais resté aussi longtemps sans écrire ici. J'ai pas été très actif pourtant durant ces quelques mois. Je suis même complètement inactif, ou actif inoccupé selon la terminologie officielle. Études finies depuis juillet, toujours pas travail. Pure immersion gonzo dans le France qui se lève tard.
Que s'est-il passé pendant ce temps ? Comme toujours, en fait. On a picolé tout l'été. Malheureusement l'été ne veut pas finir. Des entretiens de temps en temps, ça permet de bouger un peu, Paris, Lyon, Aix, Antibes, mais au final ça sert à rien. Je n'arrive pas encore à me vendre comme un produit. Alors je reviens chez mes parents, comme quand j'avais 17 ans, je les croise au petit matin quand je rentre d'une nuit d'errance urbaine de plus et on se fume une cigarette ensemble, ils vont travailler et je vais me coucher. Et j'essaie d'oublier les filles, surtout une.
Seule occupation utile de ces derniers mois : le court-métrage est fini, je le mettrai peut être ici un jour. C'est politique bien sur, ça parle de travail, de famille, d'écologie, d'aliénation. Un petit fuck off. Mais à coté de ça, plus de manif, plus de syndicat, juste une putain de haine à chaque fois que je vois, lis, entends les infos. Contre tous. La lecture de Rouillan ne me calme évidemment pas. La musique parfois.
Que s'est-il passé pendant ce temps ? Comme toujours, en fait. On a picolé tout l'été. Malheureusement l'été ne veut pas finir. Des entretiens de temps en temps, ça permet de bouger un peu, Paris, Lyon, Aix, Antibes, mais au final ça sert à rien. Je n'arrive pas encore à me vendre comme un produit. Alors je reviens chez mes parents, comme quand j'avais 17 ans, je les croise au petit matin quand je rentre d'une nuit d'errance urbaine de plus et on se fume une cigarette ensemble, ils vont travailler et je vais me coucher. Et j'essaie d'oublier les filles, surtout une.
Seule occupation utile de ces derniers mois : le court-métrage est fini, je le mettrai peut être ici un jour. C'est politique bien sur, ça parle de travail, de famille, d'écologie, d'aliénation. Un petit fuck off. Mais à coté de ça, plus de manif, plus de syndicat, juste une putain de haine à chaque fois que je vois, lis, entends les infos. Contre tous. La lecture de Rouillan ne me calme évidemment pas. La musique parfois.
Friday, April 17, 2009
Crise du disque
Je viens de m'acheter un disque. J'avais oublié ce que ça faisait. J'aime bien.
(Pour ce genre de trucs, autant m'ouvrir un twitter.)
(Pour ce genre de trucs, autant m'ouvrir un twitter.)
Friday, March 20, 2009
Open-Space
Comme dirait l'embastillé :
Les planques se font rares, et à vrai dire, c’est bien souvent perdre trop de temps encore que de continuer à s’y ennuyer. Elles se signalent en outre par de piètres conditions de sieste et de lecture.
Heureusement, je suis sorti prendre le soleil un peu hier. Dommage que ça finisse aussi tôt et que chacun rentre chez soi pour savoir combien on était.
Les planques se font rares, et à vrai dire, c’est bien souvent perdre trop de temps encore que de continuer à s’y ennuyer. Elles se signalent en outre par de piètres conditions de sieste et de lecture.
Heureusement, je suis sorti prendre le soleil un peu hier. Dommage que ça finisse aussi tôt et que chacun rentre chez soi pour savoir combien on était.
Thursday, January 22, 2009
Allons-y gaiement
J’avais écrit un long texte, un cynique, désabusé, comme d’habitude, un de plus. Je ne me sentais plus d’écrire sur moi après, je n’avais plus la force de parler de politique. Restaient la musique ou le cinéma. Je pourrais parler de Two Lovers que j’ai enfin vu, un dimanche soir où il faisait froid. Dur de prendre le métro seul en sortant de ce film. On parle de maladie, d’un rêve, d’acceptation, de grandir.
Mais de temps en temps, la rage remonte et doit sortir. Preuve qu’on est pas encore périmé, cette rage contre un système qui vous bouffe. Entendre Notre Président et un de ses rampants, François le Jaune cette fois, s’attaquer à un syndicat, le seul vrai aujourd’hui, et obliger la direction à s’excuser servilement, à sur-rembourser les usagers pris en otage bande de connards dans le seul but de préparer une privatisation. Voir la même stratégie meurtrière à l’hôpital. Entendre Brice, ressemblant tellement au président de la république de Salo dans le film, se féliciter des presque 30000 expulsions. Avec les morts, défenestrés, noyés, autres, ils les atteignent ? Voir des CRS encercler des lycéens moins nombreux qu’eux et charger, être au milieu et ne rien faire. Lire les conneries des journalistes sur tous les sujets. Lire la Stratégie du choc qui explique ce qui se passe vraiment, une rage plus forte que le quotidien qui asphyxie.
Cette rage ne peut pas pas s’évanouir. Elle gonfle et mûrit annonçant des vendanges prochaines.
Nostalgique
Nouvelle playlist qui vient d’il y a longtemps, d’un temps que je n’ai pas connu : des textes en phase avec mon état, des symboles d’un temps passé, des bonnes chansons.
Saturday, January 17, 2009
17 janvier
C'est cet après-midi en buvant de vin
que je m'aperçois d'une chose : les jours
Richard Brautigan
que je m'aperçois d'une chose : les jours
......rallongent.
Richard Brautigan
Tuesday, January 06, 2009
Tous les matins au réveil
I've been beat up
I've been thrown out
But I'm not down
Je vais m'acheter un iPod 160 Go, ne mettre qu'un seul morceau dedans et l'écouter en boucle.
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